Haute-Savoie : un chasseur tue deux tétras-lyres, les agents de l’office de la biodiversité saisissent son arme
Un chasseur a été pris en flagrant délit après avoir tué deux tétras-lyres, des oiseaux protégés, en Haute-Savoie, rapporte l’Office […]
Penser global, agir local
Un chasseur a été pris en flagrant délit après avoir tué deux tétras-lyres, des oiseaux protégés, en Haute-Savoie, rapporte l’Office […]
La chasse française, les traditions, notre façon de vivre et la ruralité sont lourdement menacés. Bécassiers de France comme d’autres associations ne peuvent rester sans réagir face aux agressions incessantes des anti-chasse auxquelles sont soumis notre activité cynégétique et nos passions.
Par respect pour la démocratie représentative, la Fédération Nationale des Chasseurs a répondu à l’invitation des parlementaires signataires de la proposition de loi qui vise à interdire des pans entiers de nos activités rurales, tant pour l’élevage que pour la chasse. Il aurait pourtant été facile de refuser de venir à l’Assemblée Nationale alors que cette proposition de loi n’a fait l’objet d’aucune concertation au préalable avec les éleveurs et les chasseurs.
Dans la logique des votes du CNCFS, nous vous invitons à vous prononcer contre ce projet au motif qu’il n’est pas acceptable que les chasseurs et leurs fédérations , qui restent les seuls payeurs des dégâts de sangliers, ne soient pas à même de disposer en responsabilité de tous les outils nécessaires et soient potentiellement court-circuités sur un tel sujet par les préfets
Le Conseil d’Etat vient de rendre ses décisions suite à l’examen des référés suspensions initiés par ONE VOICE sur les quotas des chasses aux pantes, matoles et tenderies d’une part, et par la FNC et la FRC PACA d’autre part sur le refus de la ministre de fixer un quota pour les gluaux.
relative à de premières mesures d’interdiction de certaines pratiques génératrices de souffrances chez les animaux et d’amélioration
des conditions de vie de ces derniers,
Cet arrêté préfectoral limite l’accès à la forêt par le public – sauf pour les veneurs – dans six zones de la forêt de Compiègne. Les personnes ne faisant pas partie des équipages concernés, principalement la Futaie des Amis et l’équipage Rivecourt, ne peuvent emprunter que «les voies forestières, sentiers de randonnées balisés et pistes cyclables.»
La saison de chasse débute dimanche dans un contexte particulièrement tendu. Objets de critiques récurrentes sur une pratique parfois qualifiée de “barbare”, les chasseurs estiment, eux, défendre des traditions et un cadre de vie.