2 et 3 juillet a Macon

2 juillet

12H RDV à la maison des vins de Mâcon

12H30 13H apéritif offert et vente de vins à la maison des vins

13 H 00 Repas à la Maison des Vins

15 h Conseil d’Administration de BDF à la maison des vins

Les accompagnants du parking de la Maison des Vins Pour visite du musée de Solutré et (ou) roche de Solutré (au choix personnel et en fonction de la météo) avec guide suivant météo.

17 h 30 Retour par le caveau des Terres secrètes avec dégustation.

19 H 00 Départ des Terres Secrètes pour le dîner des congressistes et des accompagnants à la Maison des vins

3 juillet

 9H30 Rendez-vous des congressistes et des accompagnants pour l’Assemblée Générale à la FDC 71 à Viré pays du Viré Clessé3 juillet 

9H30 Rendez-vous des congressistes, des accompagnants et des invités pour l’Assemblée Générale à la FDC 71 à Viré pays du Viré Clessé

9 H 35 Départ de la des accompagnants non participants à l’AG en bus et guide pour visite de la ville de Cluny.  (Son Abbaye et Haras nationaux).

9 H 35 Assemblée Générale des congressistes Salle des Formations à la FDC 71 à Viré

12 H 00 Retour du Bus de Cluny pour les accompagnants à la FDC 71 à Viré.

Fin de l’AG de BDF

12 – 12 H 30 Apéritif offert à la FDC 71 repas au restaurant ST Oyen à Viré

La Fédération des Chasseurs du 71

Basé des années à Mâcon à la Maison de l’Agriculture, le siège de la FDC 71 est depuis 2001 situé sur la commune de Viré sur le canton de Lugny.

La chasse en Saône-et-Loire en quelques chiffres :

Le département de Saône-et-Loire, c’est :

573 communes pour une superficie de 861 412 hectares, 575 000 habitants, une surface agricole utile d’environ 517 400 hectares et une surface boisée de 204 000 hectares.

La chasse en Saône-et-Loire, c’est :

  • Un territoire chassable de 731 000 ha dont 204 000 ha de bois,
  • 13 100 chasseurs et 1 500 territoires de chasse (1 000 chasses particulières et 500 associations de chasse communales),
  • 200 nouveaux chasseurs formés chaque année,
  • Des pratiques de chasse variées, individuelles ou collectives, avec ou sans chien,
  • Des orientations pour la Chasse inscrites dans un Schéma départemental de gestion cynégétique pour 6 ans, approuvé par le Préfet,
  • Des suivis patrimoniaux pour de nombreuses espèces de la faune sauvage chassable ou protégée,
  • Une implication forte dans la gestion des habitats en développant des partenariats avec le monde agricole et les représentants des intérêts forestiers,
  • Les chasseurs de Saône-et-Loire indemnisent chaque année les agriculteurs des dégâts occasionnés par le grand gibier (moyenne d’environ 335 000 € par an).

La fédération des chasseurs de la Saône et Loire est présidée par Evelyne Guillon qui a comme pratique de chasse préférées la chasse du petit gibier au chien d’arrêt

La maison des vins

Une institution. Située à l’entrée de la ville face à la Saône, la Maison mâconnaise des vins a fière allure. Cette grande maison a été fondée en 1958 par des professionnels de la vigne et a su devenir une adresse incontournable à Mâcon. Toujours sublime et bien décorée, avec ses marches et ses grandes colonnes, elle ressemble à un palais. Gérée d’une main de maître par Florence Dupont, on y vient tous les jours de semaine pour découvrir la cuisine des chefs Hervé Descoyère et Dominique Laroche. Des formules rapides le midi ou des menus plus copieux avec en fil conducteur : la tradition ! Les grands classiques bourguignons sont présents pour accompagner les meilleurs vins : Oeufs en meurettes, escargots, pavé de charolais, tête de veau ou encore sandre ou quenelle de brochet. Coté vins, au verre ou en bouteille, les Mâconnais sont les grands vainqueurs même si quelques autres représentants de la Bourgogne sont présents à la carte.

La Roche de Solutré

La Roche de Solutré est un escarpement calcaire surplombant la commune de Solutré-Pouilly, à 8 km à l’ouest de Mâcon. Il s’agit d’un site emblématique de Saône-et-Loire, au sud de la région Bourgogne-Franche-Comté.  Protégée au titre de la loi sur les sites classés et aujourd’hui Grand Site de France, elle tire sa célébrité de plusieurs points d’intérêt : phénomène géologique rare dans cette région et site préhistorique éponyme d’une culture paléolithique (le Solutréen), elle abrite sur son sommet — qui culmine à 493 mètres — un milieu spécifique (les pelouses calcicoles du Mâconnais) à la faune et la flore particulières.  Occupée par l’homme depuis au moins 55 000 ans, il s’agit en outre du berceau du Pouilly-Fuissé, vin blanc renommé. Elle fut médiatisée à partir des années 1980 par l’ascension rituelle du président François Mitterrand accompagné par de nombreux amis. Environnée de vignes, la Roche de Solutré offre au regard un paysage contrasté et spectaculaire, depuis le haut de son éperon rocheux ou de sa pelouse sommitale.

À l’est, s’étend la plaine de la Saône, où l’on distingue au premier plan le Mâconnais, plus loin, la Bresse et la Dombes (Ain), et enfin le Jura voire le mont Blanc en fond de toile, lorsque les conditions climatiques sont adéquates.

Dans les trois autres directions, le paysage, moins ouvert et délimité par les lignes de crêtes des monts environnants, déroule vignes, villages et hameaux typiquement mâconnais, avec en particulier :

  • Au nord, parmi les monts et les vignes, le village de Vergisson et sa Roche ;
  • À l’ouest, la « voie romaine », et au-delà, une zone mixte de vignobles, de bocage et de forêts ;
  • Au sud, le village de Solutré-Pouilly et le Mont de Pouilly.

Solutré, Musée de la préhistoire

Le Musée de Solutré présente les collections d’un des plus riches gisements préhistoriques d’Europe : un site de chasse fréquenté pendant plus de 50 000 ans par des hommes du Paléolithique supérieur qui sont venus chasser, dépecer et boucaner des milliers de chevaux et rennes pour la Bécasse ils attendront plus tard l’arrivé des adhérents de l’ADB71 et de le leur président. Aménagé sur le gisement archéologique, le parc archéologique et botanique de Solutré complète la visite du musée. Il permet de découvrir une grande variété d’espèces végétales caractéristiques du milieu naturel et les résultats essentiels des recherches archéologiques.

L’abbaye et le haras de Cluny

L’abbaye de Cluny est une abbaye bénédictine Fondée le 2 septembre 909n 1 ou 910 par le duc d’Aquitaine et comte d’Auvergne Guillaume Ier, devenue le symbole du renouveau monastique en Occident, Cluny fut un foyer de réforme de la règle bénédictine et un centre intellectuel de premier plan au Moyen Âge classique. Il ne subsiste aujourd’hui qu’une partie des bâtiments, faisant l’objet de protections au titre des Monuments historiques1 et gérés par le Centre des monuments nationaux. L’ancienne abbaye a reçu le Label du patrimoine européen. Les bâtiments de l’abbaye abritent depuis la fin du XIXe siècle l’un des huit campus de l’école des Arts et Métiers, grande école d’ingénieurs française.

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